Romuald Reber - 30/08/17 |
"Un paquet surprise" à ouvrir absolument! Une très belle plume, de l'imagination, de l'humour et de l'amour, du cynisme, de l'érotisme et surtout beaucoup d'humanité desservent ses nouvelles. De très bons moments passés dans cette lecture. Des histoires intrigantes, passionnantes et touchantes. Catherine Gaillard-Saron nous transmet dans ce paquet plus que des surprises, elle nous propose des observations subtiles sur la vie des gens et transforme le quotidien en des aventures formidables. Je recommande vivement ce livre. Romuald Reber |
Eric Walther - 12/04/17 |
J'ai lu presque d'une traite "Délit de fuite". Enfin un polar qui n'est pas trop glauque… Ton commissaire est sympa (sa compagne aussi) et tu arrives bien à nous faire sentir tout le désarroi de cet homme qui "pète un plomb". La petite touche sentimentale est juste érotique comme il faut en ce printemps et les "performances" sont enrobées (joli mot pour des scènes de déshabillage) de douceur… J'attends le prochain polar ! Eric |
François Gachoud - 12/03/17 |
Chemins de traverse Comment philosopher en profondeur à travers des contes? Catherine Gaillard-Sarron excelle en cet art fort rare. Car elle a compris qu'une des meilleures manières d'apprendre à penser passe par le caractère pédagogique de la création fictive. En cela, elle rejoint le génial Voltaire qui, dans Candide ou Zadig, a brillé dans le genre. |
Denis Pierre Meyer - 22/02/17 |
Bonjour Catherine, Des plus beaux poèmes d’amour de la poésie française que je lis ces jours, du XII au 20ème siècle en vieux François, je lis les vôtres, issus de "La terre de l'Aimé", avec autant de plaisir même si la forme et le langage de notre siècle est finalement peu différent, la tendresse et l’érotisme de bon aloi est peut-être un peu plus direct aujourd’hui. Je ne peux dire ma préférence pour l’un ou l’autre, je citerai quelques-uns, Jeux de mains, jeu coquin… Pendant qu’il est encore temps… En avant toute… Coureur de cœur, Comme il est bon… « Acorps » parfaits, Cœur à corps… Lâcher prise, Amour partagé… et qui sait si à mon tour ceux-ci m’amènent à renouveler de façon nouvelle ma prose poétique, merci pour ce moment de partage au-delà des corps ou l’amour le transcende comme une quête à la fois charnelle et spirituelle.
Mes meilleures pensées poétiques. Denis Pierre Meyer |
Françoise Leu - 05/02/17 |
Chère Catherine, J'admire sincèrement le travail que tu réalises; je me demande comment tu arrives à écrire autant, dans des registres différents, en plus de la gestion du site web (toujours très agréable à consulter). J'ai bien aimé Allons voir si la rose et la lecture des récits de Chemins de traverse m'a accompagnée avec bonheur pendant une partie du voyage. Merci encore pour ce beau cadeau, merci pour les dédicaces si chaleureuses! Je trouve que la nouvelle version des Marcheurs est très réussie, tu lui as donné davantage de profondeur tout en préservant l'émotion et l'authenticité des personnages. Et je te félicite pour Délit de fuite, que j'ai dévoré avec grand plaisir, c'est formidable cette première incursion dans le polar; est-ce que tu as pris beaucoup de temps à l'écrire? as-tu l'intention de poursuivre dans cette veine? Tu sais, j'ai prêté Délit de fuite à Denise et elle l'a beaucoup aimé; elle m'a dit qu'elle l'a lu d'une traite, tellement elle était prise par l'action et par ton style.
Je vais d'ailleurs passer une commande de quelques ouvrages sur ton site, pour que je puisse en faire cadeau à des amis!
Je te souhaite une bonne semaine et t'envoie de gros bisous.
Françoise
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Isabelle Chabanel - 03/02/2017 |
Hier soir j’ai terminé ton roman "Délit de fuite" que j’ai trouvé très bien dans son intrigue et son déroulement. Il sonne juste dans ses dialogues et l’histoire se tient bien. J’ai eu beaucoup de plaisir à le lire. Bravo. je l’ai préféré au précédent. Affectueusement Isabelle
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Daniel Fattore - 16/01/2017 |
Délit de fuite - Extrait billet Daniel Fattore - Lire le billet Accident ou meurtre? Catherine Gaillard-Sarron ose le roman policier "C'est un fait divers qui constitue le nœud de l'intrigue de "Délit de fuite": une voiture fonce sur une personne qui traverse la route, celle-ci meurt. Accident? Cela aurait pu se passer ainsi. Mais Annie Belmont, témoin oculaire, vient faire une déposition qui sème le trouble et s'avère cruciale pour l'enquête. Il y a anguille sous roche... et autour du commissaire Henry Baud, les policiers explorent toutes les pistes. L'auteure construit avec Henry Baud un personnage à la fois discret et attachant: on le voit œuvrer avec méthode, de façon bien carrée, et coacher son escouade d'inspecteurs en les priant à plus d'une reprise de ne pas prendre d'initiatives. En contrepoint, l'auteure sait réserver des plages de légèreté autour de ce bonhomme: celui-ci a une copine, une vraie complice, qu'il rencontre selon un rituel précis (deux jours par semaine seulement). Le lecteur goûtera les dialogues piquants qui s'installent entre les deux amants! " Daniel Fattore |
Jean-Charles Monzani - 07/01/17 |
Chère Agatha, Moi aussi j’ai lu ton dernier opus "Délit de fuite", et j’ai marché. « Le marché aux puces » en quelque sorte. ;-). Il se lit rapidement… du moins, quand on le commence, on ne le lâche pas facilement. Il m’a fallu du temps avant de trouver l’assassin, c’est bon signe, car en général je le découvre assez rapidement, et quand ma supposition se révèle inexacte, je me dis que l’auteur aurait dû se fier à mon flair de fin limier. Une morte, mais pas de temps mort. Un côté "série noire" avec sa scène polissonne autour d’un siphon hypothétique au cœur de l’ouvrage pour faire monter la sauce. Si Menon n’était pas mort, il devrait bien se tenir. J’appose la mention « lu et approuvé ». Une belle épéclée pour ton roman avec quelques expressions suisses pour faire couleur locale, on s’y croirait. Et comme dirait Nicole : « J’ai été déçue en bien »… bien qu’elle emploie l’expression dans le sens « ça m’a plu », alors que le véritable sens est « Satisfait contre toute attente ». Gros bisous et tout de bon. Giancarlo |
Nicole Monzani - 03/01/17 |
Avec Délit de fuite, le nouvel ouvrage de Catherine Gaillard-Sarron, l'auteure prouve qu'elle sait investir l'espace littéraire de l'intrigue policière. L'enquête, menée à la manière d'un jeu de construction avec suspects, fausses pistes et rebondissements est servie par une écriture précise et épurée, un rythme se dégage qui entraîne le lecteur jusqu'au dénouement. La mort d'un animal peut faire basculer une vie, prouvant que les voies du chagrin son impénétrables... Un livre dont le plaisir est tel qu'on ne le lâche pas! Nicole Monzani |
Christian Campiche - 27/12/2016 |
Nu comme un ver, l’inspecteur ouvrit le journal sur la table de la cuisine – Extrait du deuxième roman de Catherine Gaillard-Sarron "Délit de fuite" est le deuxième roman de Catherine Gaillard-Sarron. Cette fois la poétesse et écrivaine franco-vaudoise ne met pas en scène un crime parfait mais un meurtre presque parfait. L'inspecteur Henry Baud parviendra-t-il à résoudre l'énigme? Réd. |
François Gachoud - 12/12/2016 |
Je recommande vivement la découverte et la lecture des œuvres de Catherine. Elle est avant tout une observatrice rare non seulement des comportements humains en lesquels nous nous reconnaissons, mais aussi une poétesse et une conteuse qui excelle dans la composition de ses recueils en vers et, pour ce qui est des contes, des nouvelles, une analyste profonde du cœur humain en ses dimensions sensibles, affectives et surtout spirituelles. Son recueil paru en avril 2016 Sous le titre "CHEMINS DE TRAVERSE" est à mon sens une réussite unique: ses descriptions et méditations sur le temps, sur l'amour, sur la mort, sur le rôle central du féminin donateur de vie, sur notre aspiration à la présence de l'Esprit sont des modèles d'écriture et de sagesse à relire et méditer à notre tour. François |
Marianne Charlotte Mylonas-Svikovski - 05/12/16 |
Chère Catherine, J'ai trouvé ton livre Allons voir si la rose excellent et je comprends qu'il est pressenti pour le succès. C'est bien ficelé et rondement mené jusqu'à la fin inattendue. J'ai beaucoup aimé la critique féroce de notre société qui ajoute du sérieux à l'histoire "mine de rien", comme on dit. Tu devrais continuer dans la même veine afin de te créer un public petit à petit, comme tu l'as déjà pour la poésie, mais plus large, ce que permet le roman.
Je te souhaite de tout cœur plein succès! Et me réjouis de découvrir ton prochain livre
Marlo
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Marie Brulhart - 19/11/2016 |
Le premier roman de Cahterine Gaillard-Sarron, Allons voir si la rose... est très bien construit, sur neuf jours. C’est un récit dramatique magnifiquement mené par une plume alerte, utilisant un réseau lexical très riche et plein d'humour. La conclusion reflète bien ces qualités : Ulrich Stramer, le cultivateur de roses "était probablement le seul à avoir toujours été au parfum...". Marie Bruhlart |
Josiane Meyer - 2/11/2016 |
J'invite vivement mon entourage à lire les ouvrages ou à écouter les poèmes de Catherine Gaillard-Sarron, sa voix est mélodieuse, sa plume est harmonieuse et nous invite à visiter un monde de richesses intérieures reflétant les thèmes de la vie dont nous sommes tous témoins. Sa beauté en tant que femme révèle l'élégance de son âme animée par sa flamme intérieure pour exprimer la fragrance des mots dont elle seule a l'alchimie de les assembler pour nous procurer la juste émotion. C'est une belle personne et je suis ravie de la connaître. Je lui souhaite plein succès personnel et professionnel. Au plaisir d'une prochaine rencontre, d'une prochaine lecture. Josiane |
Christian Campiche - 30/06/2016 |
Allons voir si la rose... Dans son roman « Allons voir si la Rose », la romancière vaudoise Catherine Gaillard Sarron met en scène un crime parfait. Un drame de la petite bourgeoisie qui n’exclut pas des touches d’humour pince-sans-rire. Ainsi qu’une vision critique de l’environnement médiatique, comme l’atteste cet extrait que nous publions. Réd. Lire l'extrait sur la Méduse.ch |
Daniel Fattore - 22/06/2016 |
Chemins de traverse - Extrait billet Daniel Fattore - Lire le billet Chemins et philosophies avec Catherine Gaillard-Sarron "Provocants ou méditatifs, les textes de "Chemins de traverse" s'avèrent de bons points de départ pour des réflexions personnelles, tournant autour de thèmes qui concernent chaque lecteur. L'auteure offre ses pistes de réflexion, ses éléments de réponse, dans une écriture abordable qui ne perd pas le contact avec le concret, puisqu'il met à chaque fois en scène des personnages humains ordinaires comme point de départ. Cela, au gré d'un recueil bien construit: si la dernière nouvelle s'intitule "Le bout du chemin" et suggère la fin de vie, ce n'est pas tout à fait un hasard..." Daniel Fattore - Billets |
Elena Vlaicu - 17/06/2016 |
Allons voir si la rose...
Coucou Catherine, ça fait un moment que j'ai fini ton livre et, je n'ai pas réussi à t'écrire plus tôt... J'ai adoré, tu as beaucoup d’humour ! j'ai beaucoup ri ! et je l'ai prêté à deux copines de randonnée et, elles aussi ont aimé ton style ! Félicitations ! il faut continuer ! grosses bises, amitiés Elena |
Jean-Marie Leclercq - 7/6/2016 |
Allons voir si la rose... « Nos destinées de voisinage sont-elles libres? De quel poids pèsent les hostilités, les convictions, les valeurs pour faire planer la discorde entre les individus lorsque la vengeance donne lieu à une imagination morbide ? Catherine Gaillard Sarron observe le stupéfiant voyage du couple Denise/ Félix, ses ravissements et ses dépressions, ses défenses et ses décompositions. Elle retrouve les mots des conspirations de Ulrich et ceux de la querelle avec des congénères ! Sans fard ni complaisance, Catherine excelle à créer des atmosphères pleines de tourments et de questions insidieuses qui peuplent nos vies si ordinaires. Jean-Marie Leclercq |
Marianne Pichon - 27/04/2016 |
Chère Catherine, Pardonnez-moi cette familiarité mais après avoir lu "Allons voir si la rose", je me la permets. J'en ai écouté un extrait lu par vous lors d'une soirée à Ouchy il y a peu. Ma voisine Anna, comme moi séduite, a acheté le livre et vous le lui avez dédicacé. Anna est une voisine "famille", pas comme ceux décrits dans votre livre. Elle me l'a prêté et et je l'ai lu avec une profonde délectation il y a deux jours lorsque j'ai pris le temps pour ce faire. Nous avons de bons rapports de voisinage et jardinage qui équilibrent je l'espère les horreurs décrites dans "Allons voir ...." Je me suis délectée de "Allons voir ..." . Dans les lignes, entre les lignes et par delà les lignes, j'ai ri de votre façon de conter des histoires à pleurer de l'histoire de la bêtise et de l'ignorance humaines. Pas trop aimé le sacrifice du chat, racheté par celui de tout le monde, qui m'a évoqué Giono raconté par sa fille Aline qui, lorsqu'on l'embêtait un peu trop en famille parce qu'il tuait trop de gens dans ses livres, en rajoutait en disant sombrement à sa femme et à ses filles avant de monter écrire dans son bureau : *Puisque c'est comme ça, ce soir je vais en tuer cinq" (citation de mémoire approximative). Pensé aussi à Amélie Nothomb qui dans je ne sais plus lequel, dit qu'"on devrait parler de dévoisineurs comme on parle de dératiseurs". Là je ne mets franchement pas de guillemets tellement je n'arrive pas à ré-écrire, de mémoire, sa propre phrase. Vous, Catherine, vous dératisez large, et j'admire. Ma phrase est que vous êtes la championne olympique des "dévoisineurs" et dératiseurs tous azimuts, tant votre livre m'a ouvert d'horizons que je ne connais que trop hélas - sur tant de sortes de "voisins" et autres rats (pardon la gent animale), et me les a ouverts avec votre sourire mitigé et votre rire profond digne de Rabelais, le vrai, le propre, dans tout le sens du terme, de l'homme. Mais voilà : je voudrais vous demander deux livres, deux "Allons voir ....". Mais je suis un vieux (normal) dinosaure qui ne s'est pas débrouillé pour naviguer sur la commande sur site, et surtout je voulais vous faire une demande directe. L'un des "Allons voir ... " est pour moi bien sûr, car je n'ai pas encore tout déchiffré, mais l'autre est tout à fait une urgence médicale : Il s'agit d'une amie proche en perdition totale dans le canton de Berne. Il y a urgence pour une sombre histoire de noisettes sans papiers, frontalières pour ainsi dire dans une haie dite "protégée", avec des prolongations de laurelles plantées sur des frontières floues sur lesquelles ni la commune ni l'urbanisme cantonal fédéral, planétaire, voire cosmique, ne s'accordent - ni les frontaliers, les voisins que cette haie sépare momentanément, avec un risque de mort sur une cabane de jardin et deux honorables composts, ni le reste. Laquelle amie souffre le martyre obnubilé propre à ce genre d'affaire, que je tente de lui adoucir par de pieux et objectifs conseils mais il me semble devoir faire appel pour cela à votre expertise, si artistement synthétisée dans "Allons voir ....". Tant pour le rire que pour la sagacité avec lesquels vous démontez les machines infernales tueuses d'innocentes cabanes de jardin. Comment faire d'un cauchemar une histoire qui fait rire, c'est tout l'art du transformateur, c'est le vôtre et je veux le faire partager à des amis en plein cauchemar - qui n'en vaut pas la peine mais pour écrire ce que vous avez écrit, pour transformer ainsi un mauvais rêve, il faut de la force, de la lucidité, de l'incisivité et un talent que j'admire et dont je souhaite qu'il donne de la force à ceux que j'aime (y compris moi-même) pour émerger du cauchemar. Merci pour ce livre que dont j'ai eu le privilège de vous entendre lire des passages au CPO d'Ouchy, de lire sur papier l'intégralité grâce à une "vraie" voisine, que je souhaite faire connaître à ceux qui ont besoin maintenant et à ceux qui croient ne pas en avoir besoin, merci pour vos autres livres que je découvrirai, pour votre site, pour ce que vous êtes et écrivez et écrirez. Et ... je n'en rajoute pas, vous avez m'avez touchée jusqu'au bout des neurones du cœur et de cela, merci. Bien à vous, Merci encore, Marianne Pichon |
Christian Campiche - 25/04/CChristian Campiche - 25/04/16 |
Chère Catherine, J’ai lu d’une traite hier « Allons voir si la Rose… ». Je n’ai pas pu lâcher le livre avant de l’avoir terminé... Une terrifiante fresque humaine, un crime parfait, finalement. Quel talent de mise en scène! Et ces petites touches d’humour pince-sans-rire. Je publierais bien deux ou trois bonnes pages sur la Méduse, si tu es d’accord et pour autant que tu m’envoies un copié-collé du texte, dans la mesure du possible. Ce passage, par exemple, est complètement dans la ligne du journal: pages 23 "Pour Ulrich…" à 26 « ...dindons de la farce". Amitiés Christian |
Marie-Françoise Messerli - 05/01/16 |
Bonjour, Merci pour vos vœux. Que cette nouvelle année vous apporte toujours autant d’imagination et que les mots dansent sans discontinuer sur chaque page que nos yeux parcourent avec frénésie, impatience et délectation ! J'ai « dévoré » les livres que je vous avais commandés et j'ai trouvé dans votre plume tout ce que j'aime en littérature : le vocabulaire, le suspens, la poésie, la douceur, l'aventure et surtout l'imagination des situations et des chutes ! Bref, une belle découverte littéraire. Pour 2016, plein de souhaits fous à consommer sans modération ! Au plaisir d'une prochaine lecture ou d'une rencontre ! Bien amicalement, Marie-Françoise Messerli |
Éliane Prod'hom - 25/12/2015 |
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Joyeuses fêtes à vous aussi. Ces quelques mots pour vous dire combien j'apprécie toujours votre CD "La musique des mots". Quand j'ai des insomnies et que je suis souffrante, c'est le meilleur remède... Le son des voix agit comme une berceuse et le sens des mots est très suggestif et apaisant pour moi... Amicales pensées Éliane Prod'hom |
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Marylène Rittiner - 14/12/2015 |
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Bonsoir Catherine, Il y a quelque temps, en septembre, plus précisément lors du vernissage de l'ouvrage "Le vœu de Puceron" d'Anne-Catherine, nous avons fait connaissance. Puis durant la soirée raclette qui a suivi, tu m'as parlé de ton roman. Anne-Catherine me l'a conseillé et j'ai donc lu avec plaisir "Allons voir si la rose..." et apprécié ton imagination. Le style quelque peu grinçant, les surnoms qualifiant à la perfection certains "zéros", les noms déformés, genre "Kate Moche" ou "Claudia Chiffon", tout cela donne à ton récit un ton particulier qui m'a poussée en avant. En général, lorsque je lis un roman, il y a toujours au moins un personnage que je préfère. Pour ses qualités enrichissantes, ses habitudes sympathiques, parfois aussi pour ses travers qui nous rappellent que personne n'est parfait mais que l'on peut s'améliorer. Mais là, dans ton histoire, je n'ai trouvé personne à qui m'attacher. Ulrich, sordide, vengeur, machiavélique. Félix, soumis, résigné, fataliste. Denise, méchante, nocive, castratrice. Cependant, dans ton résumé, tu le dis bien, "les protagonistes sont délibérément caricaturaux". Donc, pas étonnant de retrouver dans tes personnages autant de défauts tenaces. Tu as réussi à me tenir en haleine jusqu'à la fin malgré cette guerre permanente. Je suis par contre un peu déçue de la fin, comme je l'ai été dans le film"La guerre des Rose". Pour qui aime les tragédies et les fins dramatiques, ce roman est une pure merveille du genre. Je te souhaite plein succès pour la suite et au plaisir de te rencontrer à nouveau. Meilleures salutations. Marylène R. |
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Jacqueline Juillet - 08/12/2015 |
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Coucou Catherine, Un grand merci pour La Rose… que j’ai dévoré très vite parce qu’on est pris dans ce tourbillon cocasse de mésententes entre voisins…et ce beau Félix qui trône là au milieu. Même si les situations sont amplifiées et les personnages caricaturaux.. ça m’a beaucoup plu. Il n’y a pas de piste que j’aurais voulu que tu explores plus, mais par contre une suite me paraîtrait possible…je m’attendais à une histoire d’amour peut-être ?…à toi de voir hé hé… sacré Stramer…Bonne chance pour la suite et encore un grand merci ! Gros bisous Jacqueline |
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Daniel Fattore - 24/11/2015 |
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Allons voir si la rose...- Extrait billet Daniel Fattore - Lire le billet "Divertir? Certes, le propos est grave puisqu'il est question d'une hostilité entre voisins, qui se développe en un crescendo rapide à l'apothéose bien campée quoique tragique. Les situations sont caricaturales, le lecteur le comprend en côtoyant des personnages tels que l'auteure sait les construire. L'onomastique, cela dit, s'avère amusante: les personnages portent des noms évocateurs et, surtout, certains mots et marques actuels, suisses à l'occasion, sont travestis afin de leur donner un côté ridicule auquel tout le monde a pensé un jour ou l'autre. Le début paraîtra certes peu percutant au lecteur, l'auteur ayant choisi d'installer doucement son intrigue en présentant le personnage de Stramer. Mais il sera utile d'aller au-delà de cette impression pour arriver à un final bien éclatant, mené tambour battant, qui amène son lot de morts pleins de caractère au terme d'un ouvrage qui sait se faire à la fois cocasse, piquant et intelligent: si l'on sourit à certaines outrances, on se surprend aussi à réfléchir ou à s'interroger au détour d'une phrase, d'une page de ce livre aux allures de faux journal." Daniel Fattore - Billet |
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Mado Gonin - 21/11/2015 | |
Allons voir si la rose... Un grand merci pour cette fleur mystérieuse dont le parfum m'a captivée jusqu'à ses dernière effluves... Bisous Mado |
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Jean-Martin Tchapchet - 25/10/2015 | |
Chère Catherine, Ayant lu beaucoup de tes poèmes et aussi eu des échanges avec toi, puis-je dire que ˝Allons voir si la rose …˝ est quelque part un ˝Manifeste˝ ? Ton manifeste ? Je suggère que tu poursuives son écriture dans une série. Très amicalement. J.-M. T. |
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Jacqueline Thévoz - 22/10/2015 | |
Allons voir si la rose... "Une merveille ce nouvel ouvrage de Catherine Gaillard-Sarron, et une charmante édition de ce roman passionnant et si bien écrit, avec personnages superbement campés et un sujet en or. Rue de la Concorde se côtoient, non sans frictions, des êtres hauts en couleurs : un retraité cultivateur de roses, une habituée des concours de beauté pour chats, qui, ayant déjà asservi son époux, déclenche une guerre de quartiers...Mais l'on n'en dira pas plus : je vous laisse le plaisir - qui sera grand ! - de la découverte du... pot aux roses..." Bien amicalement Jacqueline |
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Edgar et Anny Blasi - 06/10/2015 | |
Nous tenons à vous remercier encore pour l’envoi de votre recueil dont la lecture nous a apporté tant de plaisir. Chaque nouvelle nous a tenus en haleine jusqu’au bout et nous a permis d’apprécier une écriture vivante et réaliste. Encore un grand merci pour ces agréables moments de lecture et peut-être à bientôt. Bien amicalement à vous et votre mari Edgar et Anny PS Faites nous savoir quand votre livre Allons voir si la rose sortira pour que nous puissions en faire commande. |
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Allons voir si la rose... Et voilà Et voilà je connais enfin la fin de l'énigme.... L'histoire est bien menée, je dirais bien enlevée et agréable à lire. J'ai beaucoup apprécié les passages qui analysent les caractères humains à travers les attitudes, le regard que tu poses sur tes semblables, aussi la description de tout ce qui dérape très vite dans notre monde contemporain, travers dont nous sommes si proches !!! Bisous Nicole |
Isabelle Chabanel - 15/06/2015 |
Merci chère Catherine, « C’est sympa à mon retour de vacances de trouver ces photos souvenirs. L’ambiance, avec tous tes amis sous l’arbre accueillant, respire l’été et la convivialité. Et j’ai encore sur la langue certaines saveurs de ton généreux buffet. Merci à toi et à Claude qui savez créer ces moments à la fois culturels et amicaux. Qui se répètent avec bonheur grâce à ta veine créatrice et à tes initiatives. A tous deux, je souhaite également un bel été, dans la joie et la grâce d’être ensemble, chez vous et en divers lieux. Avec affection » Isabelle |
Edgar Blasi - 12/06/2015 |
Bonjour Quel merveilleux poème! Ce vaisseau immobile... Avec mon épouse, nous avons beaucoup apprécié ses mots, ses rimes et ses idées qui coulent plein de fluidité comme l'eau de source ; on est transporté dans un milieu où la frontière entre la fiction et le réel est bien mince. Donc, un poème très agréable à lire et à relire. Nous tenons à vous remercier beaucoup d'avoir pensé à nous, ainsi que de toute votre gentillesse. Toutes nos salutations amicales Edgar |
Marie-José Boularan - 11/06/2015 |
Bonjour, j’ai assisté à la soirée poésie à la salle Pétrarque en Mai où vous nous avez présenté vos poèmes que j'ai beaucoup aimés. Je n'ai pu rester jusqu'à la fin car il était tard, je n'ai pas parlé avec vous et le regrette. Pouvez-vous me dire comment je peux me procurer ces poèmes que j'aimerai relire. Et pouvez-vous me prévenir quand vous revenez dans notre région pour que je puisse de nouveau vous écouter (oralement c'est encore mieux). Merci d'avance de me donner ces renseignements. Je vous souhaite un bon été poétique. |
Jean-Marie Leclercq - 11/06/2015 |
Bonjour Catherine, « Tous mes compliments pour toute ton activité, tes recueils et ton interactivité. En te lisant tout est gratifiant et tellement remarquable. Je remercie la vie qui m'a mis en contact avec toi et surtout avec toute ta ferveur poétique sans oublier ta générosité au contact des autres. Sans doute un grand moment de bonheur " d'être" que fut le 6 juin. Tu as confié ta vie à ton œuvre, secret lié de toute façon " au monstre intime", à la profondeur insondable que tu es. Ta poésie nous enseigne à contenir nos doutes jusqu'à les réfléchir dans tes interventions qui, sans les dénaturer, les consomme et les consume dans le feu des figures, pour le subtil et caressant dialogue tout feu tout flamme. Tes traces, oui, toutes tes traces sont belles, ce bouquet indestructible, que nos yeux endormis ramasseront dans les catégories secrètes. C'est ce qui permet d'être au monde dans tout pays. » Jean-Marie |
Pascal Neyroud - 08/06/2015 |
MERCI, Catherine et Claude, pour cette charmante et conviviale soirée! Sous cet arbre, lors du vernissage de Notre dame Nature, il y avait comme quelque chose de magique - le temps s'est arrêté pendant 1h et c'est tellement bon à vivre! Chantal et moi vous souhaitons un magnifique été! Pascal et Chantal |
Cédrine Hofer - 11/03/2015 |
Bonsoir Catherine, Magnifique. Je me balade dans vos pages, sur ce nouveau site qui me ravit. Bravo. Je vous souhaite encore beaucoup de succès. Cédrine Hofer |
Sylvie Percier - 03/03/2015 |
Bravo Cathy, Sylvie |
Emmanuelle - 03/02/2015 |
Bonjour Catherine, Le 30 janvier je terminais mon travail vers 21h30. Le temps de ranger mon bureau, dire au revoir à certains jeunes du Foyer qui n’étaient pas encore dans leur chambre et qui traînaient dans les corridors, je descends calmement à pied mes 3 étages et je rejoins ma voiture. Je mets le contact et la radio se met à parler automatiquement : elle est toujours allumée. J’entends vaguement ce qui se dit… je n’ai pas envie d’écouter parler… et juste au moment où j’appuie sur le bouton off j’ai entendu … de Catherine Gaillard… je n’ai pas fait tilt tout de suite et j’ai éteint, tout occupée par mon travail… : ce que je n’ai pas eu le temps de faire, ce que je dois reporter au lendemain… Et quelques secondes après… je me répète dans ma tête : Catherine Gaillard, la franc-comtoise… je crois, qu’elle avait rajouté la voix à la radio… et hop, je rallume : mais oui c’est Catherine… Et voilà comment ta nouvelle m’a accompagnée dans la voiture, et ça m’a fait du bien. Je me suis vidée la tête de mes soucis, pensé à autre chose, j’étais avec l’homme au chapeau noir sur le banc à regarder l’horizon. Bravo Catherine et merci pour ce moment magique. Emmanuelle |
Jacqueline Thévoz - 18/11/2014 |
Catherine Gaillard-Sarron excelle dans le genre de la nouvelle. Elle m'a toujours sidérée, car c'est une nouvelliste hors pair. "Elle a un regard qui vous transperce". On est émerveillé par sa créativité, son inventivité, son inspiration, son imagination, la peinture si réussie qu'elle nous fait des êtres dans leur extrême, avec une connaissance peu commune de l'humain dans ses excès, dans sa férocité autant que dans sa bonté. Elle est, en quelque sorte, notre Balzac moderne et finira sûrement romancière. |
Nicole Monzani - 17/11/2014 |
Bonjour Catherine, j'ai beaucoup apprécié "La fenêtre aux alouettes". Dans la préface, Jacqueline a bien décrit ton talent d'écrivaine. Le style est agréable, riche en vocabulaire sans être truffé de mots savants. Ton inspiration met en scène des personnages aux caractères bien décrits, même si certains thèmes sont assez cruels. Très belles descriptions des paysages et ambiances. Vraiment une lecture fluide, plaisante de la première à la dernière ligne. J'espère que le succès sera au rendez-vous au regard de toute l'énergie et du plaisir investis dans ton projet. |
Webliterra - Anne-Catherine Biner - 10/11/2014 lien site |
"Catherine nous invite à découvrir son dernier recueil de poèmes, "La Terre de l'Aimé", poèmes dédiés à l'amour. L'amour est présenté comme le plus beau des voyages. Il chemine dans la profondeur des coeurs et plus précisément dans celui de l'auteure avec "des parfums de bonheur, des bulles, de la tendresse, de la musique et du plaisir". |
Jean-Martin Tchapchet - 03/11/2014 |
J'ai écouté avec plaisir la lecture de "L'arbre". Carine Delfini sait s'y prendre sans être dérangée par la musique de fond. Tu as une imagination créatrice très riche et pas du tout ordinaire. Tu donnes à ta nouvelle une action et des acteurs extraordinaires et cohérents. Jusqu’à la mort d’Émile avec ces radicelles qui poussent sur son corps abandonne. Félicitations. Jean-Martin |
Jean-Marie Leclercq - 16/10/2014 |
Bonjour Catherine Gaillard-Sarron, Un recueil à lire et à relire, comme un viatique. Je crois que dans le poème : L'ELU page 20 votre secret est totalement révélé pour l'homme de votre vie. Le titre du poème à lui seul porte dans ses vers toute votre ferveur et votre amour pour votre mari, " votre oiseau d'or vers son perchoir d'étoiles ", diamant de vos années pour consteller le blanc de votre papier! |
Madie Mognetti - 23/06/2014 |
Chère Catherine, |
Éliane Prod'hom - 20/06/2014 |
Merci, Catherine, pour votre CD "La Musique des mots" qui m'enchante. Les paroles sont magnifiques, la musique sublime, leur ensemble, extraordinairement harmonieux... Avec mes salutations enthousiastes. Éliane |
Daneille Berrut-Dubosson - 06/06/2014 |
Merci, Catherine, pour votre message si encourageant.C'est vrai que Champoussin était le lieu idéal pour lire mes nouvelles, car elles se situent toutes dans le Val d'Illiez. J'ai aussi lu avec plaisir votre Fauteuil pour trois. J'étais très curieuse de découvrir vos nouvelles après avoir entendu votre lecture si sensible à St-Pierre. Je n'ai pas été déçue. Un récit concentré, un style clair, une chute surprenante et l'art de dévoiler nos peurs profondes, car on sent chaque fois que le sentier ne sera pas uniquement bordé de belles fleurs des champs. Je me suis un peu retrouvée dans des nouvelles comme L'Arbre ou l'Odeur. A vous aussi, plein succès pour la poursuite de votre passion et au plaisir de vous revoir bientôt, je l'espère. Danielle |
Jacqueline Thévoz - 23/05/2014 |
Félicitations, chère Catherine, Vous méritez de figurer dans le Guiness des Records avec vos cent poèmes d'amour à un mari ! C'est unique ! Et ces poèmes sont tous beaux et mélodieux ! Même le coeur de la première de couverture est à la fois beau, sensuel, érotique, voluptueux et très humain (la chair, l'alliance, le bijou, les rides) Vous êtes vraiment très douée, et votre poésie, toujours musicale et inspirée, somptueuse, parfois quasi divine (même si, pour ma part, je n'ai jamais accepté le mélange des syllabes muettes et des autres, surtout dans les alexandrins) nous console des sèches élucubrations contemporaines. Bravissimo et merci de tout coeur pour ce si merveilleux cadeau et votre si gentil message ! |
Isabelle Chabanel - 17/05/2014 |
Chère Catherine, |
Mado Gonin - 13/01/2014 |
Je ne suis pas vraiment habituée à lire ou écouter la poésie... mais par une soirée de janvier, éclairée aux bougies, je me suis installée sur le canapé et j'ai laissé sonner les mots dans ma tête, dans mon esprit et dans mon cœur. Ça m'a réappris à mettre des images sur les mots, ce que je pense avoir un peu perdu avec le temps et les overdoses d'images télévisées. C'est un exercice qui m'a beaucoup plu et j'ai redécouvert un plaisir enfoui bien au fond de moi. Un grand merci Catherine. |
Claudio Draglia - 03/01/2014 |
J'admire et je trouve fantastique ta capacité à faire voir, sentir, ressentir, vivre des émotions très intenses en 3 ou 4 pages. C'est impressionnant ! A plusieurs reprises l'émotion prend le dessus et la justesse de l'observation et de l'analyse provoquent des larmes. C'est tellement juste, vrai, réel ! Pour quelle raison personne ne réagit? C'est réellement du talent! Claudio |
Jacqueline Thévoz - 04/09/2013 |
Chère Catherine, |
Ive Favre - 18/06/2013 |
"éMERveillé" par ton écriture, elle me parle, à mon âme et à mon coeur. Je la vis intensément. Depuis 13 ans je longe la mer en Lettonie et tes poèmes me sont ce que vis en solitaire. Magnifique langage! Musique admirablement choisie. MERCI. Affectueusement à toi chère Catherine et à Claude. Ive |
Marlo - 07/05/2013 |
Chère Catherine, |
Emanuela Mareine - 27/04/2013
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Vernissage Filigrane Félicitations pour ton vernissage qui était chaleureux, émouvant et réussi BRAVO ! j'ai relu MIMI à Charlotte et les larmes me sont revenues... Emanuela |
Anonyme - 09/03/2013 |
J'ai beaucoup aimé votre livre de nouvelles "Des taureaux et des femmes" que j'ai lu particulièrement à une personne âgée qui est dans un EMS. Nouvelles originales et souvent au dénouement inattendu. Petite remarque.... le titre !!! |
Isabelle Chabanel - 30/01/2013
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Merci Catherine. Toujours beaucoup de plaisir à lire tes poèmes où ta sensibilité éclate dans la simplicité des mots. |
Isabelle Cardys Isely - 29/01/2013
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Merci Catherine, ton site est magnifique. J'espère que ton passage à St Pierre de Clages se réalisera selon tes souhaits et je me réjouis de découvrir ce CD dont tu me parles avec tant d'enthousiasme (puis-je te le commander ?). |
Ariane Péclard-Sahli - 28/01/2013 |
J'écoute et m'émerveille de ta poésie et des accompagnements musicaux. Très beau ! Merci Catherine. Quel talent et quelle sensibilité qui flirte avec l'universalité. J'adore. Je te souhaite ainsi qu'à tes proches une année merveilleuse. Merci ! Au plaisir de te revoir. Ariane |
Un homme m.........x - 25/01/2013
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C'est Catherine qui est importante ainsi que tout ce qu'elle dit ! Un voyage à travers les divers "pays" de son site d'un abord simple et très sympathique nous permet de découvrir... des perles, des bijoux de nouvelles, la puissance des mots et souvent la douceur de ses poèmes, ce coup d'oeil de photographe,et ses talents d'artiste, bref, tous les éléments d'une œuvre splendide qui ne demande qu'à être connue et reconnue. C'est un extraordinaire travail, je suis fier de toi... Claude |
Faivre Pascale - 24/01/2013 |
Je viens de découvrir ton site et je suis complètement émerveillée par autant de travail. Après tant d'années à te chercher, tu as enfin trouver ton chemin....bravo, c'est une magnifique réussite. Il te te reste qu'à continuer sur cette magnifique voie et je sais que les personnes qui te sont proches vont t'y accompagner avec amour
Bien affectueusement |
Jo Lamon - 21/01/2013
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Bonjour Catherine, Quel beau site ! www.catherine-gaillardsarron.ch est complet, attractif, varié et imagé. |
Anne-Catherine Biner - 21/01/2013 |
Vernissage CD éMerveillement St-Pierre-de-Clages. "Oui, la compagnie était d’excellente qualité et le final, formidable. Je me souviens trop bien des larmes de Sabine à la fin du récital. Tu l’as prise dans tes bras et cela restera un souvenir des plus forts de la journée. Je me rappelle aussi de la réflexion d’une de mes amies qui était présente. Lorsque je lui ai demandé si cela lui avait plu, elle m’a répondu. « Laisse-moi quelques minutes, je dois atterrir ». Quel voyage !" Très cordialement. |
Cédric Jeunot - 21/01/2013
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Vernissage CD éMerveillement St-Pierre-de-Clages.
"PS : c'est vrai que les routes étaient dégueulasses samedi soir, et ces bouchons pare chocs contre pare chocs à 30km/h, avec des centimètres de neige au sol.....mais sache que ma route était accompagnée d'éMerveillement, sons de plages, rivages, et une douce voix me narrait ses poèmes au rythme de la houle qui inondait mon auto de toute part; mes pneus étaient sur la neige, mais mes yeux étaient face à la méditerranée, à Frontignan, aux balades du mois de septembre en plein mois de janvier, c'était très agréable d'être ralenti au son de ton cd.... nous en reparlerons !! Bonne continuation à toi et à Claude" Cédric |
François Gachoud - 20/01/2013 |
Vernissage CD éMerveillement St-Pierre-de-Clages. Chère madame, sachez que j'ai été enchanté par la lecture de vos poèmes, pour leur délicatesse, leur finesse suggestive et ce rythme si simple admirablement souligné par le choix musical: vous savez exprimer l'intime aux confins de l'indicible et ce travail avec Valdo Sartori est magnifique. J'ai eu l'occasion de le lui dire. J'aurais aimé moi aussi avoir un échange avec vous: nous étions tous deux sollicités au même moment. Bien cordialement, chère Madame, et au plaisir de vous revoir. |
Sabine Perrottet - 20/01/2013
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Vernissage CD éMerveillement St-Pierre-de-Clages.
Mille merci pour ce bel après-midi chargé en émotions. J'ai écouté deux fois le c.d, et toujours pareil, les émotions qui remontent toutes seules. Quels beaux poèmes, et ta voix qui sublime tout ces mots. Je considère ce c.d comme un véritable bijou.
Sabine.PVraiment ouah, on en reste sans voix. Merci encore, bonne soirée. |
Nathalie Benezech - 19/01/2013 |
Bon courage à toi pour cette journée qui s'annonce plus difficile que prévue.
Comme promis, dès que j'ai un moment je ferais partager à mes amis de facebook le lien vers ton site!
biz a tous les 2 |
Francoise - 19/01/2013
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Bravo, Catherine, pour ce nouveau site, très agréable à naviguer. Une belle invitation au voyage! De la part d'une lectrice assidue, Fr. |
Benezech Evelyne - 19/01/2013
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Je suis impressionnée de tout ce travail et surtout contente car ton site va permettre une plus grande diffusion de toutes tes créations qui sont magnifiques.
Je te souhaite la reconnaissance que tu mérites: continue. Une fervente admiratrice E. |
Eric - 19/01/2013 |
Ton site est magnifique, un grand bravo au concepteur !
Comme au photographe qui a fait les photos d'accueil très réussies.
Bises. Eric
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Carole Rryder - 19/01/2013
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Ton site est très agréable, et assez complet ; il rassemble une production impressionnante, et je vais prendre le temps de les lire en détail.
Félicitations tata et continue.... Affectueusement. |
Marlo - 19/01/2013 |
Bonjour Catherine,
Je vous félicite de vos nouvelles et belles réalisations. Vous avez un site magnifique que j'ai parcouru attentivement et j'aime beaucoup votre façon de vous présenter et de parler de votre poésie. Effectivement, il faut avoir quelque chose à dire ... Le succès ne saurait tarder et je vous le souhaite de tout coeur. Je mesure l'investissement personnel, plaisir mais aussi travail qu'il nécessite. Avec mes meilleurs voeux et cordiales salutations, Marianne Charlotte Mylonas-Svikovsky |
Roseline Charpin - 18/01/2013 |
Bonsoir Catherine, |
Denise André - 18/01/2013 |
Bonsoir Catherine,
Avant d'aller me coucher j'ai saisi l'invitation à faire un petit tour sur ton nouveau site.
C'est très sympa et j'ai bien aimé les poèmes "Emerveillement". Je t'en commande 1 exemplaire.
A Claude et à toi mes amitiés et un bel hiver!
Je vous embrasse, Denise
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o - 21/11/2015
Mise en service du nouveau site le 18 janvier 2013 |
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Ancien livre d'or |
Vous trouverez ci-dessous l'historique de mon ancien livre d'or...
Anny - 4 octobre 2012 11:24 Fanny - 15 août 2012 10:01 Christophe- 13 août 2012 11:03 Fabien - 16 juillet 2012 11:48 Pseudo (pascal) - 04/06/2012 19:59:58 Pseudo (Voisin du 24) - 24/05/2012 21:44:22 Martin 24 mai 2011 at 14:53 Un Fauteuil pour trois, de Catherine Gaillard-Sarron. Un peu effrayant, ce recueil , à croire qu’il a sa place dans cette catégorie « frisson » ! On en frissonne, en effet, de cet arbre incompréhensiblement malveillant, de ce fauteuil criminel. J’aime particulièrement l’histoire d’amour extra-temporelle du banc dans les ruines, ainsi que la promenade fatidique en montagne, sur les traces d’une odeur familière ! Isabelle 23 juin 2011 at 22:16 Des taureaux et des femmes, de Catherine Gaillard-Sarron. Oui, « Le Banquet » vaut le détour ! Ces nouvelles sont surprenantes, parfois terribles, souvent touchantes. On en redemande, elles nous sont si proches et si particulières à la fois. Marie 23 mai 2011 at 12:13 Des taureaux et des femmes, de Catherine Gaillard-Sarron. J’ai eu la chance de lire ce recueil en primeur et j’en ai aimé un grand nombre de nouvelles. Certaines, comme « Le fantasme du curé » (qui vaut la lecture, ne serait-ce que pour sa chute…) ou « Monsieur Herbert » (ou quand un homme psychorigide pète les plombs!), ne sont pas dénuées d’humour. D’autres, d’un ton beaucoup plus sérieux, comme « Paul et Martha », « La Mimi » ou « Perce-Neige Avril », racontent la revanche des faibles. Mes deux préférés sont « Un mal sain! », l’histoire d’une femme qui fait une marche pour se faire du bien et en tire une leçon personnelle et « Le Banquet » qui parle d’un visiteur de bibliothèque un peu particulier… Écho de mon amie Françoise - 29 avril 2011 14:24 Écho de mon amie Françoise - 4 mars 2011 14:32 by souram (22/02/2011) Des taureaux et des femmes, de Catherine Gaillard-Sarron. Voilà un livre que j'ai plaisir à lire. On ne devine jamais ce qui va arriver. Raphaël - 10 février 2011 14:22 Pseudo rosette_poletti@bluewin.ch - 09/11/2010 16:09:27 Pseudo (emmanuelle) - 10/03/2010 11:08:37 Pseudo (mathieu) - 06/02/2010 03:15:43 Pseudo (jacqueline et catherine delsaux) - 26/01/2010 14:42:46 Pseudo (Marciane) - 13/08/2008 11:28 :02 Pseudo (Anonyma) - 11/6/2008 23 :10 :05 Pseudo (mahe)- 13/04/2008 10:03:58 Pseudo (marie) - 21/03/2008 17:36:05 Pseudo (Mélisse) - 11/03/2008 21:56:45 Roro - 17 février 2008 18:06 Pseudo (Planète Lilou)- 09/02/2008 20:41:49 Pseudo (annick cardinaux) - 25/01/2008 19:38:49 Roro - 17 décembre 2007 20:08 Dominique - 11 décembre 2007 13:15 Annette - 9 décembre 2007 11:11 Pseudo (Karin) - 05/12/2007 20:10:04 Pseudo (Claude) - 18/10/2007 14:32:59 Pseudo (Anne) - 17/10/2007 12:50:59 Merci pour vos écrits. Ils font du bien à l’âme. N’arrêtez pas, malgré les claques de la vie, comme vous le dites si bien dans "Aux poètes du monde". Sylvie - 14 mai 2007 17:38 Chère Catherine, c'est émerveillée dès l'ouverture de ton site que je t' écris spontanément..... Sans te connaître j'avais déjà recopié le poème sur Graziella et c'est au Moulin Blanc que nous venons de déjeuner ensemble... Toi, ton époux, une autre poétesse, et d'autres personnes encore...... Alors après ce moment de partage d'idées où nous étions tous sur la même longueur d'onde avec des personnalités différentes et bien trempées c'est "Grâce à Graziella" que ce moment a pu exister..... Comme tu le dis il faut des artistes et il faut des personnes pour les comprendre, les aimer et les faire se rencontrer..... pour raviver sans cesse la flamme de la transmission, de l'amour de la Vie, de la terre et des Autres..... Oui émerveillée je suis devant ce site, il y a des êtres qui nous rendent meilleurs, des lectures, des oeuvres aussi... et au premier coup d'oeil sans goût de la flatterie mais du fond de coeur ce site sa présentation les couleurs en plus de *sa Consistance* me charme.... Je prendrais de temps à autre un moment pour me promener mais dès maintenant je le cite comme site chéri sans courtoisie juste parce qu'il le mérite..... A très bientôt pour continuer cet échange et pour réécouter le poème accompagné du son harmonique : heureusement tout n'est pas dit en deux heures : juste le temps de donner envie......................Sylvie Martine - 12 avril 2007 11:11 Pseudo (Marie) - 15/03/2007 15:01:29 Pseudo (Martine) - 14/02/2007 22:09:10 Pseudo (Bruno Mercier) - 21/02/2007 11:52:07 Pseudo (océans) - 11/10/2006 13:04:01
Bravo pour vos écrits, c'est magnifique ! Je vous invite à découvrir mon site au http://perso.orange.fr/morceaux.choisis/ A bientôt Hélène Pseudo (Joël) - 25/09/2006 18:16:06
J'ai vraiment aimé les nouvelles. Je me réserve un temps pour lire la poésie. Parmi les nouvelles, j'ai particulièrement aimé La Lisette. Elle est horrible dans son humour. Mais elle reflète tellement bien ce qu'il est possible de faire d'un être humain quand on le prive d'amour depuis l'enfance. Ce manque d'amour conduit la Lisette à un état de soumission et même de culpabilité de ne pas aimer son bourreau. L'auteur a été assez courageux pour ne pas céder à la tentation facile de faire une fin plaisante ou la Lisette se révolte et se met en colère. Ici on laisse la résilience aux philosophes qui n'ont jamais vécu l'humiliation dans l'enfance et qui ne savent pas de quoi ils parlent. Ici la Lisette s'enfuit pour cacher sa rage et son chagrin. J'imagine qu'elle va revenir et reprendre ses travaux comme avant. Juste un peu plus triste, juste un peu plus fatiguée. Et c'est ça qui la rend vraie pour moi. Qui la fait exister. Et j'ai envie de lui rendre hommage pour rendre hommage à toutes les Lisettes du monde... Merci Catherine. Marina - 23 septembre 2006 16:56 Ma très chère Cathy, Merci, merci et encore merci! Aujourd'hui samedi 23 septembre, je te remercie infiniment pour ta carte d'anniversaire (merci à Claude bien sûr). Mais, je te remercie encore plus de m'avoir offert un de tes carnets "Mon plus beau voyage". J'ai consacré mon temps libre de ce samedi à la lecture de ton recueil, il est bouleversant d'amour, d'émotion, d'intensité, d'intimité ; tellement touchant, infini, c'est magnifique. Je trouve difficilement les mots pour t'exprimer justement ce que j'ai resssenti à la lecture de tes poèmes, mes larmes venaient, et se retiraient...C'est un pur instant d'AMOUR. Merci, Marina. Pseudo (Heidi) - 13/09/2006 19:10:59 Enfin avec bien du retard je viens de découvrir ton site ! J'ai été très touchée par certains récits et je t'en félicite bravo et continue je te souhaite plein succès. Pseudo (patrick) - 12/09/2006 16:25:52 bjr collegue incontestablement tu écris bien; bonne musique durcis peut ete un peu des mots mais ... à chacun sa voix au fait existe t il en suisse des concours ouverts aux francais? Bien cordialement. Pseudo (Fille) - 11/09/2006 20:29:42 Hello ! Très beau site dis donc ! ;-p malgré nos collaborations parfois houleuses, je suis contente du résultat et j'espère que ce site portera les fruits de tout ton travail ! "La patience est un arbre dont la racine est amère et le fruit doux" Gros bizoux Pseudo (Devi) - 07/09/2006 00:33:47 J'ai encore dans l'oeil et dans l'oreille, le magnifique poème, scribe d'or et il ne date pas d'hier ! La nouvelle du père Fides a bien mérité son prix. Quant à la Lisette, je la relis régulièrement, la nouvelle parfaite ! Pseudo (Daniel Fattore) - 05/09/2006 17:09:21
De la part d'un auteur moins heureux au concours du Scribe d'Or 2006: félicitations pour le texte qui vous a valu un Scribe d'argent, et bravo pour la distinction! J'ai adoré la chute - même si je me suis bien demandé, en cours de lecture, où ça allait nous mener. Pseudo (Claude) - 16/08/2006 11:18:27
Quelle merveilleuse impression m'a laissé l'ensemble des textes et superbes poèmes présentés. Courage! la consécration viendra. Une telle maîtrise ne peut rester inconnue! Jacqueline Fromin - 28/03/2005 15:08:28
Chère Madame, Au nom des "poètes de la Cité" à Genève, je vous renouvelle toutes mes félicitations pour votre participation au concours 2005. Votre nouvelle "La Lisette" avait rallié tous les suffrages du jury pour la qualité de son écriture et l'art consommé avec lequel vous avez su la conduire à sa chute. J'ai parlé le 20 mars d'une nouvelle modèle. Pour moi qui en écris aussi (en plus de la poésie) il s'agissait d'un véritable témoignage de reconnaisssance. Votre poème "La carte de ton visage" en néo-classique a suscité l'émotion bien que le thème en fût plus commun. Je vous ai encouragé à essayer de publier "La Lisette" en l'envoyant à une revue de poésie et de nouvelles. Vous pouvez parfaitment vous prévaloir deu 1er prix que vous avez obenu à notre concours. Pour ma part, je collabore surtout avec des revues françaises (dont je peux vous donner les coordonnées) mais vous devez sûrmeent avoir des adresses en Suisse. Nous espérons de votre part une nouvelle participation au concours 2006 dont vous recevrez le réglment. Il nous tient particulièrement à coeur de fidéliser nos candidats en essayant d'année en année d'améliorer, cette journée de la poésie. Amicales pensées en poésie. Jacqueline Fromin pour les Poètes de la Cité.
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