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C O M M E N T A I R E S    A l l o n s  v o i r  s i  la  r o s e...
       

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Avec mes sincères remerciements pour tous vos commentaires :-)  Catherine

 

 

 

05.02.17

 

 


Belle découverte!

Une jolie histoire avec un contenu exhaustif qui nous permet une remise en question à chaque page. Un vocabulaire qui en cultivera plus d'un et une fin rocambolesque...je recommande et remercie l'auteur pour cette belle découverte !

Bonne continuation et à bientôt !

Pauline - Amazon

 

 

 23.12.16

 

 


Une belle échappée pour les vacances de Noël 

L'auteur arrive à ce mélange subtil entre fiction et sensation de réel. BRAVO.

Client - Amazon

 

 

05.12.16

 

 


Allons voir si la rose

Chère Catherine, J'ai trouvé ton livre excellent et je comprends qu'il est pressenti pour le succès. C'est bien ficelé et rondement mené jusqu'à la fin inattendue. J'ai beaucoup aimé la critique féroce de notre société qui ajoute du sérieux à l'histoire "mine de rien", comme on dit. 

 Tu devrais continuer dans la même veine afin de te créer un public petit à petit, comme tu l'as déjà pour la poésie, mais plus large, ce que permet le roman.
Je te souhaite de tout cœur plein succès! Et me réjouis de découvrir ton prochain livre
Marlo

 

 

19.11.16

 

 


Le premier roman de Catherine Gaillard-Sarron, Allons voir si la rose... est très bien construit, sur neuf jours.  C’est un récit dramatique magnifiquement mené par une plume alerte, utilisant un réseau lexical très riche et plein d'humour.

La conclusion reflète bien ces qualités : Ulrich Stramer, le cultivateur de roses "était probablement le seul à avoir toujours été au parfum...".

Marie Bruhlart

    16.11.16    
Surprenant!

Une histoire pleine de suspense, un livre très bien écrit, facile à lire et que l on a pas envie de poser avant de l avoir terminé! Une belle prise de conscience de la réalité de la vie qui peut parfois être stupide...

Jojo - Amazon

     08.11.16    

Prenez garde à vos voisins!

Allons voir si la rose est un bouquet d'humour et de suspens. Il permet une belle réflexion sur les rapports humains. La fin est surprenante... Bravo!!!

Sylvie - Amazon

     07.11.16    

Très bon roman!

Se lit très facilement j'ai passé un bon moment, les chapitres nous mettent dans l'ambiance du livre.

Bravo pour cette œuvre.

Client Amazon

     06.11.16    
Allons voir si la rose

ce roman m'a permis de passer d'agréables moments, car chaque page apporte une information qui conduit, tout en ménageant le suspense, jusqu'au dénouement final. Le vocabulaire est très recherché. Les mots sont maniés avec une aisance remarquable. Tous ces éléments conduisent à faire de ce livre un excellent roman.
Je peux qualifier madame Gaillard Sarron de très bonne écrivaine
Une lectrice Anny Blasi - Amazon

     03.11.16    

Un regard pointu sur les querelles de voisinage

Dans "Allons voir si la rose...", la romancière Catherine Gaillard-Sarron propose un regard pointu sur les querelles de voisinage, toujours susceptibles de dégénérer si chacun n'y met pas un peu du sien: ses personnages sont des monomaniaques au caractère bien trempé. L'histoire démarre doucement, avec le portrait d'un certain Stramer, cultivateur de roses et voisin d'une femme qui choie son chat de concours.
Porté par une langue fluide qui ne dédaigne pas les traits d'esprit (les noms de certains personnages sont particulièrement rigolos) et favorise une lecture rapide, ce premier roman aux airs de longue nouvelle piquante et parfumée (comme les roses, tiens!) sait monter en puissance jusqu'à un final mené tambour battant.

Daniel Fattore - Amazon

     03.11.16    
Attachant

Tout à fait attachant, ce roman se lit d'un trait... avec délectation. L'humour n'enlève rien aux péripéties de l'affaire. Délicat et relevé...

Client Amazon

     03.11.16    

Une fin pas prévisible du tout! :-)

Excellente écriture, comme toujours avec un vocabulaire de choix.
Une histoire à l'anglaise tout en douceur mais qui reste captivante du début à la fin.
Tout au long du récit, on s'imagine des choses qui en fait n'arriveront jamais.
L'auteure nous gratifie de belles surprises et c'est avec plaisir que l'on découvre les aventures de personnages hauts en couleur.
Sarcastique, caustique parfois mais toujours dans la classe, drôle par moment, triste aussi, ce livre est un excellent ouvrage pour nous rappeler que d'infime détails peuvent changer une vie.
Bravo Catherine!

Fabien Musolino - Amazon

     03.11.16    

Incroyable mais tellement vrai, ce roman!

Un livre qui ne se lâche pas, qui nous emporte entre drôlerie et réflexion profonde sur nous-mêmes, nos rapports humains, animaux, végétaux, un monde de relations qui nous échappe la plupart du temps. Un style enlevé, une des rares lectures qui surprend le lecteur à s'entendre éclater de rire - ce qui n'est pas si courant - puis à réfléchir... Je n'ai pas encore tout décodé mais j'ai partagé ce livre avec voisins et amis qui comme moi ont été enthousiasmés par son originalité fantastique. Humour et profondeur, gaîeté et cynisme, regard sur la vie sous forme de roman, on aime ! A lire et relire par tous et à tout moment !

Chantal - Amazon

     03.11.16    
Allez-y...

Ce bouquin n'est pas un recueil d'horticulture,ni une suite au poème de Ronsard ; Et je me garderai bien d'en dévoiler l'intrigue mais je vais quand même vous mettre un peu au parfum. Sachez que rue de la Concorde on ne voit pas la vie en rose...

Mellone - Amazon

    03.11.16    
Un bon moment

N'ayez pas peur, poussez la porte et entrez dans le monde de l'aventure, du suspense et de l'humour parfois corrosif, tel qu'on l'aime. Écrite dans une langue riche, cette histoire policière vous mènera par le bout du nez jusqu'au dénouement. Je conseille vivement ce livre à tous.

Jean-Charles - Amazon

    13.09.16    
Très bon livre

Il y a tout dans ce livre: de l'humour, du suspense, de l'action et un peu d'amour: bref j'ai aimé!!!

Nath de Vic - Amazon

     30.06.16    

Les lectures de la Méduse – « Allons voir si la Rose », le crime parfait mis en scène par Catherine Gaillard-Sarron

Dans son roman « Allons voir si la Rose », la romancière vaudoise Catherine Gaillard Sarron met en scène un crime parfait. Un drame de la petite bourgeoisie qui n’exclut pas des touches d’humour pince-sans-rire. Ainsi qu’une vision critique de l’environnement médiatique, comme l’atteste cet extrait que nous publions. Réd. Lire l'extrait sur la Méduse.ch

Christian Campiche

    17.06.16    

Allons voir si la rose...

Coucou Catherine,

ça fait un moment que j'ai fini ton livre et, je n'ai pas réussi à t'écrire plus tôt... J'ai adoré, tu as beaucoup d’humour ! j'ai beaucoup ri ! et je l'ai prêté à deux copines de randonnée et, elles aussi ont aimé ton style !

Félicitations ! il faut continuer !

grosses bises,

amitiés Elena

     07.06.16    
Allons voir si la rose...

Nos destinées de voisinage sont-elles libres? De quel poids pèsent les hostilités, les convictions, les valeurs pour faire planer la discorde entre les individus lorsque la vengeance donne lieu à une imagination morbide ?

Catherine Gaillard Sarron observe le stupéfiant voyage du couple Denise/ Félix, ses ravissements et ses dépressions, ses défenses et ses décompositions. Elle retrouve les mots des conspirations de Ulrich et ceux de la querelle avec des congénères !

Sans fard ni complaisance, Catherine excelle à créer des atmosphères pleines de tourments et de questions insidieuses qui peuplent nos vies si ordinaires. 

Jean-Marie Leclercq

     27.04.16    
 Allons voir si la rose...

Chère Catherine,

Pardonnez-moi cette familiarité mais après avoir lu "Allons voir si la rose", je me la permets.

J'en ai écouté un extrait lu par vous lors d'une soirée à Ouchy il y a peu. Ma voisine Anna, comme moi séduite, a acheté le livre et vous le lui avez dédicacé. Anna est une voisine "famille", pas comme ceux décrits dans votre livre. Elle me l'a prêté et et je l'ai lu avec une profonde délectation il y a deux jours lorsque j'ai pris le temps pour ce faire. Nous avons de bons rapports de voisinage et jardinage qui équilibrent je l'espère les horreurs décrites dans "Allons voir ....", même si je lui propose parfois d'aller à "Intermerdier" aux Hôpitaux-Neufs au dessus de Vallorbe où, je vous l'avoue à ma grande honte - mais pas la plus grande - je vais parfois acheter mes légumes (à ma décharge je dirai que je suis de nationalité française). Nous faisons front ma voisine et moi aux envahisseurs et destructeurs de rosiers que sont les chevreuils rosiphages (Anna a mis des grillages autour de quelques plantes et du jardin potager) et autres blaireaux fourrageurs (je leur fais des remparts de pain sec pour que, rassasiés à la frontière jardinière, ils s'en retournent à leur terrier et n'attaquent point mes bulbes printaniers). Quant aux chevreuils, je n'ai rien pu faire pour les feuilles de nénuphar du biotope qu'ils broutent allègrement, les deux jambes avant dans l'eau au risque de percer la peu écologique bâche en caoutchouc qui en tapisse le fond. Les fleurs de nénuphar, toutefois, restent inattaquables.

Je me suis délectée de "Allons voir ..." . Dans les lignes, entre les lignes et par delà les lignes, j'ai ri de votre façon de conter des histoires à pleurer de l'histoire de la bêtise et de l'ignorance humaines. Pas trop aimé le sacrifice du chat, racheté par celui de tout le monde, qui m'a évoqué Giono raconté par sa fille Aline qui, lorsqu'on l'embêtait un peu trop en famille parce qu'il tuait trop de gens dans ses livres, en rajoutait en disant sombrement à sa femme et à ses filles avant de monter écrire dans son bureau : *Puisque c'est comme ça, ce soir je vais en tuer cinq" (citation de mémoire approximative). Pensé aussi à Amélie Nothomb qui dans je ne sais plus lequel (je ne les ai pas tous lu et cela n'a aucune importance), dit qu'"on devrait parler de dévoisineurs comme on parle de dératiseurs". Là je ne mets franchement pas de guillemets tellement je n'arrive pas à ré-écrire, de mémoire, sa propre phrase. Vous, Catherine, vous dératisez large, et j'admire.

Ma phrase  est que vous êtes la championne olympique des "dévoisineurs" et dératiseurs tous azimuts, tant votre livre m'a ouvert d'horizons que je ne connais que trop hélas - sur tant de sortes de "voisins" et autres rats (pardon la gent animale), et me les a ouverts avec votre sourire mitigé et votre rire profond digne de Rabelais, le vrai, le propre, dans tout le sens du terme, de l'homme (oui oui, et de la femme mais bon, on n'a pas trouvé encore en langue française de terme pour ainsi dire générique et humain me paraît trop .... je ne sais pas encore ... pour l'employer dans ce mail vespéral - je ne suis plus toute jeune).

Mais voilà : je voudrais vous demander deux livres, deux "Allons voir ....". Les autres suivront bien sûr car la consultation du site m'a bien intéressée et vos horizons s'ouvrent pour moi comme des promesses que le monde est beau. Mais je suis un vieux (normal) dinosaure qui ne s'est pas débrouillé pour naviguer sur la commande sur site,  et surtout je voulais vous faire une demande directe. L'un des "Allons voir ... " est pour moi bien sûr, car je n'ai pas encore tout déchiffré, mais l'autre est tout à fait une urgence médicale :

Il s'agit d'une amie proche en perdition totale dans le canton de Berne, sur le plateau de Diesse, obnubilée par Clochemerle-sur-Prêles. Une merveilleuse amie qui s'appelle Mireille et habite Prêles, même si ce n'est pas loin de Neufchâtel c'est quand même dans le canton de Berne et il n'y a pas de leckerlis. Il y a urgence pour une sombre histoire de noisettes sans papiers, frontalières pour ainsi dire dans une haie dite "protégée", avec des prolongations de laurelles plantées sur des frontières floues sur lesquelles ni la commune ni l'urbanisme cantonal fédéral, planétaire, voire cosmique, ne s'accordent - ni les frontaliers, les voisins que cette haie sépare momentanément, avec un risque de mort sur une cabane de jardin et deux honorables composts (oui, je suis de parti pris et j'avoue que cette cabane et ces honorables composts sont la propriété de mon amie Mireille), ni le reste. Laquelle Mireille souffre le martyre obnubilé propre à ce genre d'affaire, que je tente de lui adoucir par de pieux et objectifs conseils mais il me semble devoir faire appel pour cela à votre expertise, si artistement synthétisée dans "Allons voir ....". Tant pour le rire que pour la sagacité avec lesquels vous démontez les machines infernales tueuses d'innocentes cabanes de jardin. 

Comment faire d'un cauchemar une histoire qui fait rire, c'est tout l'art du transformateur, c'est le vôtre et je veux le faire partager à des amis en plein cauchemar - qui n'en vaut pas la peine mais pour écrire ce que vous avez écrit, pour transformer ainsi un mauvais rêve, il faut de la force, de la lucidité, de l'incisivité et un talent que j'admire et dont je souhaite qu'il donne de la force à ceux que j'aime (y compris moi-même) pour émerger du cauchemar. 

Merci pour ce livre que dont j'ai eu le privilège de vous entendre lire des passages au CPO d'Ouchy, de lire sur papier l'intégralité grâce à une "vraie" voisine, que je souhaite faire connaître à ceux qui ont besoin maintenant et à ceux qui croient ne pas en avoir besoin, merci pour vos autres livres que je découvrirai, pour votre site, pour ce que vous êtes et écrivez et écrirez.

Merci aussi de me dire si cela est possible ou sinon comment je peux faire pour, dans l'urgence d'un épouvantable passage à l'acte impliquant plusieurs individus dont une commune entière concernée par le problème initial de cet innocent noisetier et pouvant aboutir à la liquidation pure, simple et louchement légale tant au niveau communal que cantonal que fédéral qu'écologique (nous ne voulons pas une troisième guerre mondiale) d'une tout aussi innocente - et utile - cabane de jardin, obtenir cette aide dédicacée à Mireille pour la soutenir dans cette résistance à toutes nos valeurs.

Mmmmmm, dites-moi simplement, quand vous le pouvez, si vous le voulez, si cela est possible.

Et ... je n'en rajoute pas, vous avez m'avez touchée jusqu'au bout des neurones du cœur et de cela, merci.

Bien à vous,

PS : Mmmm je relis ce que je vous ai écrit sur un coup de cœur et je me demande si je n'ai pas été influencée par une épouvantable hypnotiseuse que s'appelle Catherine ... et si oui, et bien l'hypnose pratiquée par les sorcières de Chamblon, OKAY! Merci encore.

Marianne Pichon

    25.04.16    

Allons voir si la rose...

Je publierais bien deux ou trois bonnes pages sur la Méduse, si tu es d’accord et pour autant que tu m’envoies un copié-collé du texte, dans la mesure du possible.

Ce passage, par exemple, est complètement dans la ligne du journal: pages 23 "Pour Ulrich…" à  26 « ...dindons de la farce".

Lire l'extrait sur la Méduse.ch

Amitiés Christian

    14.12.15    

Allons voir si la rose...

Il y a quelque temps, en septembre, plus précisément lors du vernissage de l'ouvrage "Le vœu de Puceron" d'Anne-Catherine, nous avons fait connaissance. Puis durant la soirée raclette qui a suivi, tu m'as parlé de ton roman. Anne-Catherine me l'a conseillé et j'ai donc lu avec plaisir  "Allons voir si la rose..." et apprécié ton imagination. Le style quelque peu grinçant, les surnoms qualifiant à la perfection certains "zéros", les noms déformés, genre "Kate Moche" ou "Claudia Chiffon", tout cela donne à ton récit un ton particulier qui m'a poussée en avant. En général, lorsque je lis un roman, il y a toujours au moins un personnage que je préfère. Pour ses qualités enrichissantes, ses habitudes sympathiques, parfois aussi pour ses travers qui nous rappellent que personne n'est parfait mais que l'on peut s'améliorer. Mais là, dans ton histoire, je n'ai trouvé personne à qui m'attacher. Ulrich, sordide, vengeur,  machiavélique. Félix, soumis, résigné, fataliste. Denise, méchante, nocive, castratrice. Cependant, dans ton résumé, tu le dis bien, "les protagonistes sont délibérément caricaturaux". Donc, pas étonnant de retrouver dans tes personnages autant de défauts tenaces. Tu as réussi à me tenir en haleine  jusqu'à la fin malgré cette guerre permanente. Je suis par contre un peu déçue de la fin, comme je l'ai été dans le film "La guerre des Rose". Pour qui aime les tragédies et les fins dramatiques, ce roman est une pure merveille du genre.

Je te souhaite plein succès pour la suite et au plaisir de te rencontrer à nouveau.

Meilleures salutations.

Marylène Rittner

     08.12.15    

Coucou Catherine,

Un grand merci pour La Rose… que j’ai dévoré très vite parce qu’on est pris dans ce tourbillon cocasse de mésententes entre voisins…et ce beau Félix qui trône là au milieu. Même si les situations sont amplifiées et les personnages caricaturaux.. ça m’a beaucoup plu. Il n’y a pas de piste que j’aurais voulu que tu explores plus, mais par contre une suite me paraîtrait possible…je m’attendais à une histoire d’amour peut-être ?…à toi de voir hé hé… sacré Stramer…Bonne chance pour la suite et encore un grand merci !

Gros bisous

Jacqueline Juillet

    24.11.15    

Allons voir si la rose...- Extrait billet Daniel Fattore - Lire le billet
"Divertir? Certes, le propos est grave puisqu'il est question d'une hostilité entre voisins, qui se développe en un crescendo rapide à l'apothéose bien campée quoique tragique. Les situations sont caricaturales, le lecteur le comprend en côtoyant des personnages tels que l'auteure sait les construire. L'onomastique, cela dit, s'avère amusante: les personnages portent des noms évocateurs et, surtout, certains mots et marques actuels, suisses à l'occasion, sont travestis afin de leur donner un côté ridicule auquel tout le monde a pensé un jour ou l'autre.

Le début paraîtra certes peu percutant au lecteur, l'auteur ayant choisi d'installer doucement son intrigue en présentant le personnage de Stramer. Mais il sera utile d'aller au-delà de cette impression pour arriver à un final bien éclatant, mené tambour battant, qui amène son lot de morts pleins de caractère au terme d'un ouvrage qui sait se faire à la fois cocasse, piquant et intelligent: si l'on sourit à certaines outrances, on se surprend aussi à réfléchir ou à s'interroger au détour d'une phrase, d'une page de ce livre aux allures de faux journal."

Daniel Fattore

    21.11.15    

Allons voir si la rose... Un grand merci pour cette fleur mystérieuse dont le parfum m'a captivée jusqu'à ses dernière effluves...

Bisous Mado

    25.10.15    

Chère Catherine,

J’ai lu ˝Allons voir si la rose˝ avec beaucoup de plaisir et de concentration. Pour un premier roman, c’est un chef d’œuvre. Avec beaucoup de softness, tes quatre personnages dont Arthur le chat, vivent l’intrigue avec beaucoup de naturel et arrivent à refléter les comportements et les sentiments des humains dans la diversité de leurs  manifestations : amour, violence, jalousie, couple, lâcheté, cruauté, etc.

Ayant lu beaucoup de tes poèmes et aussi eu des échanges avec toi, puis-je dire que ˝Allons voir si la rose …˝ est quelque part un ˝Manifeste˝ ? Ton manifeste ? Je suggère que tu poursuives son écriture dans une série. Très amicalement.

Jean-Martin Tchaptchet

    22.10.15    

Allons voir si la rose...

"Une merveille ce nouvel ouvrage de Catherine Gaillard-Sarron, et une charmante édition de ce roman passionnant et si bien écrit, avec personnages superbement campés et un sujet en or.

Rue de la Concorde se côtoient, non sans frictions, des êtres hauts en couleurs : un retraité cultivateur de roses, une habituée des concours de beauté pour chats, qui, ayant déjà asservi son époux, déclenche une guerre de quartiers...Mais l'on n'en dira pas plus : je vous laisse le plaisir - qui sera grand ! - de la découverte du... pot aux roses..."

Bien amicalement

Jacqueline Thévoz

     23.08.15    

Allons voir si la rose...

Et voilà Et voilà je connais enfin la fin de l'énigme.... L'histoire est bien menée, je dirais bien enlevée et  agréable à lire. J'ai beaucoup apprécié les passages qui analysent les caractères humains à travers les attitudes, le regard que tu poses sur tes semblables, aussi la description de tout ce qui dérape très vite dans notre monde contemporain, travers dont nous sommes si proches !!!
Tu explores les failles avec un subtil mélange d'espièglerie et de jubilation, ce qui rend le recueil joyeusement féroce !

Bisous Nicole

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